Nostalgie éreintante
Je suis étée voir Ready Player One parce que j'aime quand SPIELBERG me raconte des histoires. J'y suis étée sans même avoir vu entièrement la bande-annonce.
C'est l'histoire d'un futur où la vie réelle est sordide et la vie virtuelle... virtuelle. C'est l'histoire d'une quête. C'est l'histoire d'une équipe de jeunes bras cassés. De l'action, de l'aventure, de l'humour. Et plein de références à la pop-culture.
C'est là que le bât blesse : toutes ces références interpellent et dévient l'attention. Tu me diras, l'histoire est facile. Ça use quand même. On pourrait croire que ça donnerait envie d'y retourner -comme pour Valérian que j'ai vu deux fois- mais non.
Pour exemple ici 50 références repérées ici par AllôCiné.
Bref, si tu as envie de te changer les idées, vas-y avec une banane ou un cookie : le film dure 2h20